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Conseil de Laboratoire
du 11 avril 2023

Conseil de laboratoire

11 avril 2023 – salle 304 (Institut de Géographie)

Présents : Xavier Bernier, Delphine Gramond, Sylvaine Boulanger, Stéphane Desruelles, Hadrien Dubucs, Elea Boennec, Eric Fouache, Adrian Gomez, Olivier Milhaud, Catherine Fournet-Guérin, David Goeury

Procurations : Lucie Yeresyan et Mohamed Bechikhi pour Adrian Gomez, Patrizia Ingallina à Eric Fouache

Excusé : Malick Mboup

Beaucoup de malades malheureusement aujourd’hui, retour du COVID.

Conseil de labo de transition et technique, et 2 points stratégiques (HCERES et profilage)

Date du prochain conseil de labo : lundi 26 juin matin, après-midi les doctoriales, salle 306 avec cocktail déjeunatoire. Un autre fin septembre début octobre 2023. AG serait délocalisée pour marquer le coup.

Point membres 

Le laboratoire enregistre le départ de plusieurs collègues à la retraite, Sylvie Brunel, Louis Dupont, qui nous ont tous deux demandé l’éméritat. Pour rappel, c’est un statut (qui nécessite les validations du laboratoire et de l‘UFR) pour prolonger des activités de recherche, à la fois du point de vue de la production et de l’encadrement. Nos deux collègues ayant notamment encore des thèses en cours, c’est tout naturellement que nous avons donné des avis favorables. Ce statut est valable 5 ans avant un éventuel renouvellement. Réfléchir au profilage de leurs postes.

Pour le poste PR438, Géographie physique et de l’environnement, 3 auditions le 10 mai. A suivre.

Sophie Lignon-Darmaillac part fin octobre à la retraite. Marion Magnan, MCF partie dans le secondaire, a quitté l’université définitivement.

4 supports au total donc sur lesquels on peut nourrir des espoirs de renouvellement à terme. Il n’est pas trop tôt pour commencer à réfléchir au profilage en fonction des besoins du laboratoire. Il faut donner le titre générique de la fiche de poste ; le volet enseignement ; le volet recherche. Le titre générique doit être donné mi-mai.

Discussion profilage de postes à venir du coup

Très peu probable que les 4 supports donnent lieu à autant d’ouvertures de poste. Il faut en demander 4, mais penser à les classer de manière judicieuse en fonction des priorités. Se fait en très bonne intelligence avec l’UFR.

Statistiquement, les deux axes moins présents quantitativement sont l’axe 1 et l’axe 3. Le prochain PR sera dans l’axe 2. Vu les profils des partants, ces 4 postes pourraient aller à l’axe 1 et l’axe 3. C’est une idée. On propose aux responsables d’axe (Olivier et David, Catherine et Hadrien) de réfléchir à des stratégies possibles de profilage, en pensant aux équilibres internes. L’idée est qu’il y ait un alignement entre les besoins de l’UFR et les besoins du laboratoire.

Faut-il qu’un ancien support de PR mène à une demande de poste de PR identique du point de vue du profilage ? et idem ancien support MCF/ demande de MCF ? Éric Fouache rappelle que cela dépend du vivier existant et de déséquilibres internes à l’UFR (âges, effectifs…). Pour l’instant, on a une pyramide inversée : beaucoup de PR par rapport aux MCF. Penser aussi dans un contexte de changement possible de maquettes. Un poste de MCF coûte moins cher à l’université. Il y a une enveloppe globale à partir de laquelle on réfléchit à la nature des postes.

Problème de conflit d’intérêt possible si Olivier et David qui rédigent tous deux une HDR sont chargés de réfléchir à un profilage.

Xavier Bernier repropose la notion de « ressources » qui est pertinente pour le labo et où tous les candidats à l’HDR (Sylvaine, Hadrien, David, Olivier, Alexandra…) pourraient candidater, même si la notion ressources apparaît dans le titre de l’axe 2. Cela pourrait aussi être élargi à « Géographie humaine / géographie générale / géographie économique ?) Il faut penser aussi au profilage en termes d’affichage du laboratoire pour l’extérieur et pour avoir des thématiques d’actualité pertinentes pour les étudiantes et étudiants. Sylvaine souligne le manque de PR en alimentation pour le master ACA qui ne peut pas attirer de futurs doctorants sans avoir de PR.

Que sont devenus les postes gelés ? Le poste d’Axel Creach formation continue semblait perdu, mais sera redemandé avec des arguments solides par l’UFR. Le poste de Florence Bonnaud notre ancienne cartographe est perdu aussi ?

L’idée n’est pas de trancher aujourd’hui, mais il faut y réfléchir collectivement.

Eric Fouache rappelle l’intérêt de garder le même intitulé vis-à-vis de la faculté (ne pas changer). Xavier rappelle qu’on avait pensé l’intitulé en imaginant que tout serait renouvelé. Là on aurait 4 supports, on pourra s’estimer heureux d’en obtenir 2 ?

Ne pas être trop précis sur la fiche de poste, ni trop large. Un exercice délicat.

Catherine Fournet-Guérin repartirait volontiers de la chronologie des postes : redemander d’abord les postes pas obtenus l’année dernière. A) MCF transports. B) PR Espaces, Ressources, Alimentation, à élargir ou pas ? à passer en MCF ? C) PR occupé aujourd’hui par Sylvie Brunel serait transformé en MCF profil Mondialisation et transports par exemple (pas exclusivement MDS) ? Le poste MCF Sophie Lignon Darmaillac ne sera pas renouvelé d’emblée vu le départ plus tardif à la retraite que Sylvie Brunel ? Pas d’effet mémoire : le Décanat ne se souvient pas de ce qui a été demandé et ne va pas donner une priorité sous prétexte qu’on leur a donné l’année dernière une fiche.

En conseil de laboratoire, penser du point de vue du laboratoire d’abord, de l’UFR ensuite (tâche du conseil d’UFR). Mais mutualiser nos démarches et nos efforts.

Rendre l’intitulé minimal du chapeau pour la mi-mai 2023 !? Discussion interne au conseil de laboratoire.

Le profil Transports et logistique et le profil PR Géographie Générale/humaine/économique Espaces, Ressources, Alimentation sont quasi montés. Transformations cosmétiques possibles. 3e poste (Sylvie Brunel actuellement) doit être réfléchi : passer en support MCF, pour rajeunir l’UFR, mais perdre en encadrement de thèses ? Catherine Fournet-Guérin préfère le rajeunissement (MCF), mais intérêt du laboratoire d’avoir des PR. Profil Géographie sociale et culturelle ensuite ?

Au final, les profils qui seront remontés à l’UFR sont les suivants :

Poste 1 (PR) : « Géographie générale/humaine/économique Espaces, Sociétés, Ressources. Approches sociale et culturelle »

Poste 2 (MCF) : « Géographie des transports et de la logistique »

Poste 3 (PR ou transformation MCF ?) : « Géographie des pays du Sud : enjeux économiques, politiques et sociaux »

Chercheurs associés (Rappel : pour le traitement d’une demande au CL, il faut une lettre de motivation précisant les raisons du rattachement, un CV et un parrainage).

Aude Le Gallou avait été acceptée il y a peu. Les doctorantes et doctorants restent membres de droit du laboratoire jusqu’à 12 mois après la soutenance. Pour rester membre au-delà, il faut faire une demande pour devenir chercheur.e associé.e (le parrain n’est pas forcément le directeur ou la directrice de thèse).

Tara Beuzen est désormais rattachée à un laboratoire allemand et à un laboratoire partenaire en archéologie.

Juliana Muniz redemandera peut-être dans un an le statut de chercheuse associée. Le statut est ré-examiné tous les 2 ans. Leurs publications comptent pour leur laboratoire principal de rattachement. Ils ne peuvent pas prétendre à des financements sur la dotation de base, mais seulement sur des programmes.

Candidature de Marie-Alix Molinié : 13 votes exprimés, OUI à l’unanimité

Candidature de Gerardo Perfors-Barradas : 13 votes exprimés, OUI à l’unanimité

Doctorants/doctorantes
Campagne de ce printemps pour les allocations de recherche : nous avons fait plusieurs lettres de soutien. Deux supports sûrs, peut-être un troisième.
Pourrait y avoir plus de candidatures encore : avoir une stratégie plus en amont

Préparation des Doctoriales du 26 juin.

ATTENTION AUX COMITES DE SUIVI

Bien être à jour. Leurs modalités vont changer. Réforme en cours.

POINT HCERES

Stratégies pour la prochaine évaluation HCERES

Question majeure pour ce Conseil de laboratoire et pour l’AG

On n’est pas menacés comme unité de recherche, mais un bon rapport nous permettrait d’avoir des dotations plus importantes et d’ouvrir des perspectives. Cela nous inscrirait aussi dans une bonne dynamique. C’est aussi une forme de retour sur nous-mêmes utile et porteur.

Importance de HAL : seule base d’évaluation !!! il faut mettre toutes ses publications et toutes ses interventions sur HAL au cours des dernières années. Si ce n’est pas sur HAL, on est déclaré non publiant. Attention aux profils « non publiants » ! Des enjeux individuels et collectifs.

Dans le rapport final attendu, importance de ce qui est appelé le « portfolio » : voir ce que l’on met en avant. L’introduction du portfolio : c’est le support de l’évaluation qualitative. Ensemble d’éléments que l’unité juge représentatifs de ses activités, missions, environnement de recherche. Grand espace de liberté. Le labo sélectionne les productions les plus représentatives de son activité. Chaque axe doit y réfléchir. Promotion de la science ouverte : avoir accès au texte intégral de ces productions représentatives. Le portfolio (articles, rapports d’expertise, etc.) est de taille libre mais il doit être proportionné à la taille de l’unité (le comité doit pouvoir lire les productions, ça peut être des films et du son, un papier dans la presse, tant qu’i y a suffisamment de publications scientifiques). Ce qui nous intéresse c’est l’intro du portfolio : qu’y a-t-il dedans ? comment s’est faite la sélection ? intro du portfolio de 3500 à 7000 caractères espaces comprises maximum. Portfolio doit être en accord avec le profil d’activités (surtout des travaux scientifiques classiques). C’est possible de faire un portfolio par équipe, ou un portfolio de tout le labo. S’y prendre le plus tôt possible !

Demande a été faite pour un entretien avec l’HCERES en présentiel.

Un document partagé va être mis en place pour que chaque axe indique ses thèses soutenues, publications et séminaires.

Nous sommes en contact régulièrement avec les équipes de l’HCERES.

POINT BUDGET 

État du budget – chiffres arrêtés au 11 avril 2023

Dotation 2023 : 27 000 euros

Dont 3 200 euros en autorisation d’engagement (dépenses effectives) et environ 1 750 euros encours de traitement dans SIFAC au 03/04/2023

+ environ 3 000 ans à régulariser de l’exercice 2022 (divers remboursements à la personne)

+ 6 000 euros déjà pré-engagés sur 2023 : deux missions prévues (Catherine Fournet-Guérien et Eric Fouache pour un montant de 2 500 euros) + soutien à publication (Ouvrage Patrick Pigeon et David Gouery pour un montant de 2 000 euros) + matériel ordi labo (Devis en attente de Florence HR à hauteur de 1 500 euros)

Soit un eestant disponible prévisionnel avant décision sur les demandes du jour de = 13 000 euros (Taux d’exécution d’environ 52% à ce jour)

 

Demandes de financements

Demandes évaluées et validées :

Financements missions (terrain/colloque) :

  • Anne-Cécile Mermet (comm. Colloque Suède) : 700 euros (transport + hébergement)
  • Thibault Carcano (comm colloque Dijon) : 330 euros (transport)
  • Lilia Khelifi (comm colloque Italie) : 733 euros (transport + hébergement + frais inscript)
  • Charles Marques (comm colloque Maroc) : 604 euros (transport + hébergement + frais inscript)
  • Lucas Marolleau (comm colloque Maroc) : 604 euros (transport + hébergement + frais inscript)

TOTAL : 2 971 euros

Savoir aussi mobiliser les bouses Mobilité de l’École Doctorale.

Financement matériels

  • Marianne Cohen (XLSTAT-Basic) : 1 licence – 324 euros (Budget ITE à terme – 3 865 euros)
  • Enregistreurs (2) : 220 euros

TOTAL : 544 euros

Finalement autres :

  • Geoteca (Dotation annuelle 2023 pour contribution au dév. de la plateforme) : 500 euros
  • Frais de traduction d’un article (Malick MBOUP) : 760 euros (ouvrage collectif sur le commerce en anglais chez Elgar)

TOTAL : 1 260 euros

Budget restant après validation de ces engagements : 8 219 euros

 

Rappel important calendrier

LUNDI 26 juin (le matin) car l’après-midi se tiendront les Doctoriales